En 1998, il rencontre Rokia Kone, qui a fait ses classes dans la troupe Koteba de Souleymane KOLY, et intègre sa compagnie " Le jeune ballet d'Afrique Noire".

En 1999 il s'installe au Burkina et intègre la Cie Lawazi. En 2000, il participe avec celle-ci au Grand prix national de la chorégraphie au Burkina Faso et se classent 3ème.

En décembre 2000, il présente les prémisses de son solo "L'enfant de la rue" lors du Festival Dialogues de corps à Ouagadougou initié par la Cie Salia ni Seydou. Il participe également aux stages dirigés par Salia SANOU et Seydou BORO, appuyés par Dimitri CHAMBLAS.

C'est cette somme d'expérience qu'il mettra au profit de la Cie Lawazi pour remporter la médaille d'or aux IVèmes Jeux de la Francophonie à Ottawa au Canada.

De octobre 2OO1 à mars 2OO2, il est sollicité en temps que danseur par la chorégraphe burkinabée Irène TASSEMBEDO dans le spectacle "Souffles".

En juin 2002 Lévy crée sa propre compagnie "SOMBO" (Bien être).

En septembre 2002 il participe à la création "Trans pace" du chorégraphe français Robert SEYFRIED. Ce spectacle créé en France y sera présenté en mars 2003 avant de voyager en Slovaquie et en Algérie

En juin 2004 il est danseur dans "Au coin de la rue" de la chorégraphe française Sylvie PAGENAUD à Montmorillon en France.

De janvier à mars 2005, il participe à la création et à la tournée au Niger, Mali, Sénégal et Guinée-Bissau de "Sources" de Souleymane BADOLO.

En décembre 2005 il participe à la création "A benguer" de Serge Aimé COULIBALY. Ils se produiront aux rencontres chorégraphiques de l'Océan Indien à Paris en avril 2006 et à la Biennale de la danse de Lyon en septembre 2006. La création a été jouée au Burkina Faso et tourne en Europe.

En avril 2006 il sera sélectionné avec sa compagnie pour représenter le Burkina Faso aux Rencontres chorégraphiques de l'Océan Indien à Paris avec sa création "AN BE TAA MI" en temps que chorégraphe danseur.

Enrichi de ces expériences et rompu à l'art de la danse contemporaine, Lévy fait aujourd'hui partie du nouvel âge des chorégraphes burkinabés. Il a une marge de progression énorme et? l'avenir lui appartient.