Quand mes proches viennent à me questionner sur les raisons qui m'ont emmenée à étudier l'architecture. Avec beaucoup de subtilité; je leur réponds: "mon amour pour la politique". Oui, la politique. J'aime à ce titre penser l'architecture comme étant une intention de fossiliser la politique ; une bonne œuvre architecturale est donc le fossile d'une guerre d'opinions taboues et enterrées au bon moment, au bon endroit par les personnes adéquates. Carl Von Clausewitz a dit une fois que "La guerre est le prolongement de la politique par d'autres moyens", dans cette logique, ma préoccupation pourrait se synchroniser à travers les questionnements ci-après : peut-on problématiser l'architecture comme étant une forme de guerre ou encore comme une guerre des formes ? Corollairement, peut-on concevoir une guerre sans politique, mieux une guerre sans opinion ? (...)
Extrait de "Les politiques de l'architecture africaine"
Brice Marvin Kemajou, étudiant à Boston Architectural College ; Boston MA, Fondateur de O.J.A.A (Organisation de jeunes Architectes pour l'Afrique)
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